Une fois n’est pas coutume, une marque légendaire vient de supprimer d’un seul coup tout le fil de publications de sa page Instagram. Lamborghini tire un trait sur plusieurs années de contenu. L’idée ? Mettre en avant le lancement imminent de la remplaçante de l’Aventador.
Un rapide coup d’oeil sur la page Instagram Lamborghini dévoile que seuls quelques posts récemment publiés sont référencés. Piratage ? Fausse manipulation ? Que nenni ! Il s’agit là d’une adroite stratégie de communication visant à tout supprimer d’une traite pour mettre en avant un évènement imminent. La remplaçante de la Lamborghini Aventador pointera le bout de son nez à très court terme. L’effet est réussi. Cela dit, même si la manoeuvre fait couler beaucoup d’encre, elle fait aussi disparaitre des années de photos et vidéos que les fans ne pourront plus consulter.

Les réseaux sociaux sont comme des prospectus : jetables
Vous vous en doutez, ce n’est pas la première fois que ce type de stratégie est employé par une marque aussi iconique. Jaguar réalisait la même opération l’année dernière. En effet, l’Anglais faisant sauter une décennie de contenu pour braquer les projecteurs sur son F-Pace SVR Edition 1988. Oui, pour la série spéciale d’un SUV. Voici pourquoi vous devez à tout prix enregistrer localement les publications les plus marquantes de votre constructeur favori. Enfin, si vous souhaitez les revoir plus tard. Telle une bête publicité bonne pour la poubelle après la vente d’un produit, les réseaux sociaux ne sont après tout qu’un moyen de communication parmi tant d’autres.

La Lamborghini LB744 dans les starting-blocks
Pour rappel, la descendante de la Lamborghini Aventador prend pour l’instant le nom de code LB744. Sa partie mécanique comprend d’après les quelques informations publiées pour l’instant un bloc V12 6,5 litres combiné à trois moteurs électriques. La partie thermique délivre à elle seule près de 825 chevaux et 725 Nm de couple pour un total de 1015 chevaux avec l’ensemble hybride. Rendez-vous le 29 mars pour la découvrir.
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